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OVNI-Languedoc
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  • Le blog d'une association ufologique basée sur l'agglomération de Montpellier. Nous recueillons les témoignages et travaillons avec tous ceux qui peuvent aider à mieux cerner la nature des phénomènes aérospatiaux à travers tout le Languedoc-Roussillon.
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20 juin 2011

Le 17 Mars 1997, 20 h 30, à Montpellier.

Un maraîcher de 42 ans observe depuis son domicile une lueur qui descendait du ciel, de couleur orangée, qui devenait blanche. L’observation aurait duré plus de cinq minutes, dans un silence total.

Un autre témoin a signalé, pratiquement à la même heure, depuis son champ, le passage relativement lent d’un phénomène lumineux, de couleur bleue et blanche, à 30 mètres du sol. Lui entend comme un sifflement. Il éclaire alors dans la direction du phénomène au moyen de sa lampe électrique ; aussitôt, les deux « phares » s’éteignent alors qu’une lueur de forme rectangulaire est observée à leur place. Puis le tout devient blanc et démarre.

Vers 23 heures encore, un autre témoin âgé de 79 ans aura son attention attirée par un phénomène ayant la forme d’une étoile, de couleur verte et rouge, à environ 30 degrés sur l’horizon, sans bruit ni sifflement.

« A signaler que le phénomène fait suite à l’observation le matin même d’une rentrée atmosphérique observée au même endroit par plusieurs témoins dont deux équipages d’avion » ajoute le C.N.E.S. à qui cette observation a été transmise, et qui conclue : « Les deux observations ont d’ailleurs fait l’objet d’un P.V. de synthèse commun. Pour cette nouvelle observation, aucun des équipages en vol dans le secteur à cette heure n’a remarqué quoi que ce soit. Ce second phénomène reste inexpliqué ». Un cas classé « D » par le GEIPAN… Il y aurait eu là plusieurs témoins, aussi bien adultes qu’adolescents. Conditions météo : ciel clair et dégagé, température entre 18 et 20 degrés, 1020 hectopascal… Les témoins auraient-ils pu être induits en erreur par les évolutions d’aéronefs bien connus puisque cette observation se situe non loin de l’aéroport ? Ce à quoi il faudrait aussi ajouter, à l’instar de la brigade de gendarmerie qui a recueilli l’information, que « ces témoins sont des observateurs privilégiés, de jour comme de nuit, des aéronefs classiques (…) et leurs observations paraissent peu susceptibles d’erreurs d’appréciation. »

Source : archives du GEIPAN

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