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OVNI-Languedoc
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  • Le blog d'une association ufologique basée sur l'agglomération de Montpellier. Nous recueillons les témoignages et travaillons avec tous ceux qui peuvent aider à mieux cerner la nature des phénomènes aérospatiaux à travers tout le Languedoc-Roussillon.
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26 janvier 2011

Octobre 1971, entre Bédarieux et Hérépian : « Une minute, croyez-moi, ça fait long ! »

Le témoin avait 31 ans au moment des faits. Il rentrait chez lui à bord de sa Citröen « 2 Chevaux » et se trouvait entre Bédarieux et Hérépian lorsqu’il aperçut tout d’abord une forte lumière à travers les branches des platanes bordant la route. Il pensa à un phare de voiture mais se rendit très vite compte qu’il se situait bien trop haut. Arrivé à hauteur du passage à niveau qu’il franchit, il vit alors distinctement une lumière aux reflets métalliques bleutés. Le temps était clair, la lune visible. Il stoppa sa voiture un peu plus loin, à droite de la route, sur un chemin, en direction du phénomène. Il ne perçut aucun bruit et n’osa pas alors s’aventurer davantage. L’objet ressemblait à une soucoupe, de couleur orange, très lumineux, mais n’éblouissait pas. Le témoin me précise qu’il ne vit aucune autre structure apparente, « et encore moins des petits hommes verts ! ». La distance d’observation était rapprochée (entre 40 et 50 mètres), et la hauteur du phénomène estimée à deux mètres cinquante environ au-dessus du sol, « deux fois la hauteur de la deux chevaux ». La durée de l’observation fut estimée à une minute en tout, même si le témoin ajoute : « dans ces cas-là, croyez-moi, ça fait long »… Alors, les phares de la voiture se trouvant droit vers la soucoupe, le témoin pense que c’est ce détail qui fit partir l’objet « en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire » , en direction du village de Villemagne.

 

Il était entre une heure et une heure trente du matin. Le témoin arrivera chez lui plus tard que d’habitude, mais ne se confiera à sa femme que bien plus tard, prétextant un travail qui lui avait pris du temps… Sa bonne foi ne fut pas mise en cause, même si sa femme eut l’air très surprise, et on ne reparla plus de cet incident « car à l’époque, on ne parlait pas de ces choses-là comme maintenant ».

 

Monsieur P. avouera que, bien que possédant un nuancier Pantone (de par sa profession d’imprimeur –vous savez, ce fameux nuancier dont tout bon enquêteur devrait être muni, en tout cas c’était un outil très prisé à la « grande époque »...), il eut beaucoup de difficulté pour retrouver la couleur de l’objet rencontré qu’il n’avait jamais vue, « ni en photo, ni en peinture ». (On notera d’ailleurs très souvent, dans les témoignages, cette difficulté pour retrouver les couleurs des phénomènes observés).

 

Une fois le phénomène disparu, le témoin s’aventurera sur les lieux de ce quasi atterrissage et sentira alors une étrange odeur de soufre au ras du sol ! Il y repassera le lendemain matin vers dix heures et s’arrêtera au même endroit pour constater que cette odeur persiste, plus légèrement. Ce détail aussi a son importance, et a été plusieurs fois remarqué.

 

► Source : Bruno Bousquet, enquête personnelle, 1995 ; Mystères en pays d’Oc (Lacour).

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